Ontario Institute for Cancer Research

En

l'IORC Rapport d’impact 2021 - 2022

Propulser une nouvelle ère d’innovation en recherche sur le cancer

Si vous voulez savoir à quoi ressemblera l’avenir des soins en cancérologie, voyez les découvertes scientifiques qui sont faites aujourd’hui ici-même en Ontario.

Depuis sa création en 2005, l’IORC continue de mettre au point les outils et les technologies nécessaires pour améliorer les résultats thérapeutiques chez les patients cancéreux et assurer des retombées économiques pour l’Ontario. De plus, nous contribuons à jeter les bases d’une transformation de la prévention, de la détection, du diagnostic et du traitement du cancer.

En revenant sur les réalisations de l’IORC et sur la manière dont elles ont façonné la recherche sur le cancer au cours de la dernière année, le présent rapport donne un aperçu de ce qui sera possible d’accomplir au cours des prochaines années.

Laszlo Radvanyi, Ph. D., président et directeur scientifique de l’IORC

Laszlo Radvanyi

Durant l’année écoulée, nous avons lancé de nouveaux programmes de recherche ambitieux visant à détecter le cancer et à élaborer de nouvelles techniques en oncologie de précision, et nous avons développé notre pipeline et nos outils afin de mettre au point des anticancéreux plus puissants.

Les nouvelles connaissances sur la structure moléculaire des tumeurs nous aident à comprendre le cancer d’une manière qui nous permettra d’agir dès maintenant et à l’avenir. Les percées réalisées en matière de tests et d’imagerie diagnostiques laissent présager un monde où il nous sera possible de diagnostiquer le cancer plus tôt et avec une plus grande précision pour donner à chaque patient la meilleure chance de vaincre la maladie. Les progrès que représentent les nouveaux traitements et données probantes par rapport à ceux qui existent déjà contribueront à assurer une médecine personnalisée qui tient compte de la forme de cancer particulière dont chaque patient est atteint. De plus, les partenariats et les infrastructures que l’IORC met sur pied aujourd’hui lui permettront de faciliter des recherches qui changeront la donne pour les générations actuelles et futures.

Voilà les fondements de la vision que l’IORC a énoncée dans son plan stratégique pour 2021 à 2026, et nous sommes ravis de voir que cette vision commence déjà à se concrétiser. Qu’il s’agisse d’ambitieux projets inédits qui font les manchettes ou des progrès scientifiques fondamentaux qui sont à la base de ceux-ci, l’IORC collabore avec des intervenants de divers établissements et disciplines pour propulser les innovations qui changeront des vies en Ontario et dans le monde entier.

Comme toujours, ces innovations sont rendues possibles grâce aux compétences et au travail acharné de nombreuses personnes. Je veux commencer par remercier chacun des remarquables membres du personnel de l’IORC qui ont surmonté une autre année de perturbations causées par la pandémie de COVID-19 afin de continuer à réaliser des travaux de la plus grande qualité. Vous avez tous démontré votre résilience et votre adhésion à la vision de l’IORC et je sais que les Ontariens vous en sont reconnaissants.

Je suis fier de diriger notre personnel avec l’aide d’une équipe de cadres supérieurs dévoués qui a continué d’évoluer au cours de la dernière année. Le nouveau rôle tenu par Mme Christine Williams, docteure en immunologie, à titre de vice-présidente directrice et chef de la science de la mise en œuvre renforcera encore davantage le lien que l’IORC a établi avec ses partenaires du système de soins en cancérologie de l’Ontario et qui rend possibles nos travaux en recherche translationnelle. Quant au nouveau rôle tenu par Jeanette Dias-D’Souza à titre de première vice-présidente des services généraux et chef de la direction financière du Groupe, il aidera l’IORC à garantir une solide supervision financière.

Encore une fois, le conseil d’administration de l’IORC a assuré à l’Institut une orientation et une surveillance essentielles. Je remercie les membres du conseil pour leur leadership et je tiens à présenter mes sincères remerciements à Mme Morag Park, docteure en cancérogenèse virale, qui a démissionné de son poste de présidente du comité de recherche de l’IORC en septembre après avoir siégé plus de quatre années au conseil. L’an dernier, nous avons également accueilli Mme Susan Fitzpatrick à titre de nouvelle présidente du conseil de l’IORC. Susan, qui poursuit une brillante carrière au cours de laquelle elle a occupé différents postes d’influence au sein du système de santé de l’Ontario, est un grand atout pour l’IORC.

La communauté de l’IORC s’étend bien au-delà de son personnel et de ses dirigeants. Je remercie encore une fois nos nombreux partenaires de l’Ontario et du monde entier qui partagent notre vision et s’efforcent de la réaliser. Et, bien sûr, nous ne pourrions mener à bien nos travaux sans le fidèle soutien du gouvernement de l’Ontario. Nous le remercions de la confiance qu’il a témoigné à l’IORC et à la puissante communauté que nous avons bâtie ainsi que de son engagement indéfectible envers la santé et la sécurité économique de la province.

Comme nos recherches visent, au bout du compte, à améliorer la vie des personnes atteintes du cancer, il est indispensable que celles-ci fassent partie intégrante du processus. Cette année, l’IORC a franchi une autre étape importante en vue de mieux intégrer la voix des patients dans ses recherches avec le lancement de son plan de partenariat patient élaboré en collaboration avec le conseil consultatif des patients et des familles (CCPF) sous la direction de sa première présidente, Antonia Palmer. Bien que la démission d’Antonia à titre de présidente du CCPF nous ait attristés, nous la remercions de tout ce qu’elle a fait pour orienter les activités du nouveau partenariat patient, et nos premiers mois de travail avec la nouvelle présidente, Diana Lemaire, nous ont galvanisés.

Il est vraiment inspirant de voir ces nombreuses communautés s’unir pour réaliser l’objectif commun de vaincre le cancer. J’ai confiance que, grâce à la poursuite de notre collaboration et de notre travail acharné, l’avenir dont nous rêvons est à notre portée.

Le président et directeur scientifique de l’IORC,

Laszlo Radvanyi, Ph. D.

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Comprendre le cancer

Histoire vedette

Le séquençage du génome procure des résultats en temps réel dans les cas de cancer du pancréas difficiles à traiter

Difficile à détecter, se propageant rapidement et obstinément résistant au traitement, l’adénocarcinome pancréatique canalaire est l’une des formes de cancer les plus mortelles.

La plupart des personnes qui en sont atteintes ne présentent aucun symptôme durant les premiers stades de la maladie, ce qui donne aux tumeurs pancréatiques — qui peuvent produire des métastases alors qu’elles ne sont pas plus grosses qu’un ongle — amplement l’occasion de se propager.

Lorsque l’adénocarcinome pancréatique canalaire est enfin détecté, il est souvent trop tard pour procéder à une intervention chirurgicale. Moins d’une personne sur dix survivra plus de cinq ans après avoir reçu le diagnostic.

Cependant, les progrès réalisés en séquençage du génome ont permis d’ouvrir une nouvelle perspective sur ce pourquoi l’adénocarcinome pancréatique canalaire représente un tel défi.

Technician at a sequences

L’IORC a été à la tête d’une initiative d’envergure qui visait à étudier et à cataloguer les données moléculaires sur le cancer du pancréas qui fournissent d’importantes indications sur la meilleure façon de le traiter. L’initiative inédite PanCuRx (Pancreatic Cancer Translational Research Initiative) de l’IORC traduit ces indications en décisions thérapeutiques applicables en contexte réel.

Dr Steve Gallinger
« Nous appliquons les connaissances en temps réel en utilisant des méthodes à la fine pointe de la technologie et nous espérons qu’elles offriront une meilleure option pour les personnes atteintes du cancer du pancréas, »

Dr Steven Gallinger, chirurgien-oncologue, PanCuRx

en savoir plusabout treating PDAC

Blood test

Nouvelles données sur la façon dont l’âge des cellules souches sanguines pourrait fournir des indications sur les personnes susceptibles de présenter un cancer du sang.

en savoir plusabout new insights on how blood stem cells age

image of cells

Il ne faut que quelques minutes pour analyser les millions de cellules d’une tumeur à l’aide d’une nouvelle technique faisant appel à l’intelligence artificielle.

en savoir plusabout using AI to analyze cells

Abstract-brain

En cherchant là où peu de scientifiques l’avaient fait avant eux, des chercheurs ont trouvé de nouveaux biomarqueurs qui permettront de prédire le degré d’agressivité de certains cancers du cerveau.

en savoir plusabout prognostic biomarkers and cancer-driving genes

Faits rapides

Plus de 4 700 patients
ont été recrutés pour participer à
162 essais cliniques financés par l’IORC
(2021-22)

2,097 personnes hautement qualifiées
de partout en Ontario ont amélioré leurs connaissances en participant à des projets financés par l’IORC
(2021-22)

Plus de 2 500 étudiants
ont participé à des projets financés par l’IORC
(depuis sa création).

Plus de 4 100 activités éducatives
ont été financées par l’IORC pour favoriser le partage des connaissances et soutenir la formation (depuis sa création).

21 patients partenaires
ont contribué aux projets de recherche de l’IORC. (2021-22)

Diagnostiquer le cancer plus tôt et avec une plus grande précision

Histoire vedette

Des outils diagnostiques de précision permettent de prédire le risque et la réponse aux traitements contre le cancer du sein

Les « meilleurs » traitements contre le cancer du sein peuvent varier considérablement d’une patiente à l’autre.

Les différentes tumeurs ne répondent pas toutes de la même façon aux chimiothérapies et aux médicaments ciblés, et trouver le meilleur traitement consiste à associer la forme particulière de cancer dont la patiente est atteinte aux traitements qui ont le plus de chance de l’enrayer.

Cette démarche personnalisée en oncologie est souvent appelée « médecine de précision » et il s’agit d’un des principaux objectifs du programme de développement diagnostique de l’IORC.

Dr. Jane Bayani
« Nous mettons au point des outils qui aident à comprendre le cancer particulier de chaque patiente pour que celle-ci puisse recevoir le traitement qui lui sera le plus bénéfique. »

Jane Bayani, docteure en médecine de laboratoire et biopathologie et codirectrice du programme de développement diagnostique à l’IORC

Cependant, ces outils ne sont pas faciles à créer. Il faut une compréhension approfondie de la biologie sous-jacente du cancer et une volonté de traduire cette compréhension en tests diagnostiques utiles sur le plan clinique.

Mme Jane Bayani et l’autre codirectrice du programme, Melanie Spears, titulaire d’un doctorat de l’Université d’Édimbourg, ont passé près d’une décennie à mettre au point deux tests prometteurs pouvant prédire comment les patientes atteintes du cancer du sein répondront au traitement. Avec le soutien de collaborateurs de l’IORC, elles ont transposé leurs innovations depuis les premiers jours suivant la découverte des biomarqueurs jusqu’à la veille de leur adoption dans la pratique clinique, où elles peuvent contribuer à orienter les décisions en médecine de précision au profit d’une Canadienne sur huit qui présentera un cancer du sein.

en savoir plus- Diagnostiquer le cancer plus tôt et avec une plus grande précision

Une technologie d’IRM novatrice exploite une des propriétés particulières du cancer, soit sa densité irrégulière, pour « mettre en lumière » le tissu cancéreux.

en savoir plusabout lighting up cancer

Un nouveau test de signature génétique peut améliorer les premières décisions thérapeutiques dans les cas de leucémie myéloïde aiguë en permettant d’évaluer rapidement le risque de récidive chez un patient après le traitement.

en savoir plusabout new gene signature tests

Depuis près d’un demi-siècle qu’il se consacre à la recherche en imagerie médicale, Martin Yaffe, docteur en biophysique médicale, a littéralement changé notre façon de voir le cancer du sein.

en savoir plusabout Dr, Yaffe's research

La COVID-19 a entraîné des retards dans le diagnostic du cancer, mais l’Ontario peut apprendre de la pandémie en investissant dans la détection précoce.

en savoir plusabout investing in early detection

Assurer une médecine personnalisée

Histoire vedette

Une collaboration pour la découverte de médicaments vise de nouvelles cibles

Des chercheurs de l’IORC recherchent au sein d’une famille de protéines précédemment négligée, les clés qui ouvriront la porte à une nouvelle classe d’anticancéreux.

Les protéines contenant des répétitions de domaine WD jouent un rôle important dans de nombreux processus cellulaires en agissant comme des protéines « d’échafaudage » et en réunissant ainsi différentes protéines.

Cette famille comptant plus de 300 protéines était traditionnellement considérée comme difficile à cibler à l’aide de médicaments. La plupart des initiatives en découverte de médicaments sont axées sur d’autres cibles, comme les enzymes qui jouent un rôle déterminant dans de nombreuses fonctions cellulaires.

Toutefois, une collaboration entre l’IORC et le Consortium de génomique structurale (Structural Genomics Consortium ou SGC) a permis de découvrir que ces modestes protéines sont plus complexes qu’on l’avait d’abord cru et que le fait de les inhiber à l’aide de petites molécules pourrait jouer un rôle important dans le ralentissement de la progression du cancer.

« Nous avons appris que cibler les interactions entre les protéines régulées par les protéines contenant des répétitions de domaine WD a des conséquences qui pourraient être importantes sur le plan clinique dans les cas de cancer. »

Mahmoud Noureldin, étudiant en quatrième année de doctorat à l’Université de Toronto membre de l’équipe de découverte de médicaments de l’IORC.

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La première plateforme à fabriquer des cellules CAR-T au Canada offre aux Canadiens et Canadiennes l’accès à une immunothérapie qui changera leur vie.

en savoir plusabout made-in-Canada CAR-T cells

Un essai comparant l’intervention chirurgicale à l’irradiation dans les cas de cancer de la gorge et de la langue a été mené pour déterminer laquelle de ces options thérapeutiques offrait la meilleure qualité de vie..

en savoir plusabout quality of life treatment for throat and tongue cancers

Un essai clinique novateur a permis de jeter un nouvel éclairage sur la façon dont un médicament immunothérapeutique courant agit sur différents types de cancer.

en savoir plusabout how a common immunotherapy drug works on different cancer types

Les tests servant à prédire le risque de récidive du cancer du sein chez la femme pourraient également être efficaces chez l’homme, selon une étude inédite menée par l’IORC.

en savoir plusabout how predicting women’s risk of breast cancer recurrence may also work for men

Faits rapides

En 2021-2022, les chercheurs financés par l’IORC ont contribué à 591 articles qui ont déjà été cités plus de 2 500 fois, soit plus de 2,5 fois la moyenne mondiale.

42 chercheurs
ont été attirés en Ontario par les projets financés par l’IORC (2021-2022).

Des collaborations existent avec des intervenants de plus de 58 organisations de 30 pays adu monde entier (2021-2022).

Les propositions de 100 % des projets de recherche prenaient en compte l’équité, la diversité et l’inclusion (2021-2022).

Faciliter des recherches qui changeront la donne

Histoire vedette

Le concours de présentations organisé par la FACIT renforce la position d’entrepreneurs en oncologie de l’Ontario.

Pour Saumik Biswas, docteur en pathologie et médecine de laboratoire, et les entrepreneurs derrière la technologie d’échographie télérobotique portant le nom de code « Lymphonator », le concours Falcon’s Fortunes 2021 organisé par la FACIT s’est révélé une expérience d’apprentissage précieuse.

Des experts dans leur domaine, M. Biswas et les membres de son équipe de l’Université Western ont créé un dispositif révolutionnaire qui détecte les ganglions dans les tissus colorectaux cancéreux réséqués chirurgicalement plus rapidement et avec une plus grande précision que le permet l’examen manuel. Cependant, présenter en un temps limité leur innovation à un jury formé de représentants de sociétés de capital de risque et de l’industrie des sciences de la vie pour avoir la chance de remporter le grand prix et voir ces sociétés investir dans leur création, c’était pour eux l’inconnu.

« C’était le premier concours de présentations auquel notre équipe participait et cela représentait un défi pour nous, explique Biswas. Cela nous a forcés à étudier et à comprendre à fond notre technologie et notre stratégie de commercialisation pour pouvoir en communiquer l’essentiel en seulement dix minutes. »”

“Bien qu’elle n’ait finalement pas remporté le grand prix du concours Falcons’ Fortunes, l’équipe du Lymphonator est repartie avec le prix « Choix du public » pour son attrayante présentation ainsi que pour sa solide compréhension de ses besoins en matière de commercialisation et de la valeur de sa création sur le marché. Cette expérience lui a permis de gagner d’autres concours de présentations et d’être en bonne voie pour recevoir plus tard cette année, par l’entremise du Prospects Oncology Fund de la FACIT, un fonds mis sur pied par l’organisme pour appuyer les projets prometteurs en oncologie, les indispensables capitaux de démarrage dont elle a grand besoin compte tenu du stade de développement encore peu avancé de la technologie qu’elle propose.”

« Nos rapports suivis avec la FACIT ont été essentiels pour faire progresser notre innovation vers la phase de commercialisation », affirme M. Biswas, maintenant directeur général, président et fondateur de Tenomix inc., la société dérivée du projet. « Ils nous ont aidé à franchir plusieurs étapes cruciales en un court laps de temps. »

en savoir plus- Faciliter des recherches qui changeront la donne

Grâce au soutien de l’IORC et de la FACIT :


(2021-2022);

33 entreprises sont en démarrage
(depuis la création de l’Institut);

640 employés travaillent dans l’ensemble des entreprises en démarrage actives financées par l’Institut.

Un agrément de haut niveau obtenu par le laboratoire de génomique de l’IORC offrira à l’Institut l’occasion d’appuyer davantage d’essais cliniques.

en savoir plusabout OICR’s Genomics

Un portail de données sur la COVID-19 créé en un temps record par l’équipe de génie logiciel de l’IORC aidera à mieux comprendre la maladie.

en savoir plusabout OICR's COVID-19 data portal

Une nouvelle plateforme d’infonuagique met un ensemble colossal de données sur le cancer à la disposition des chercheurs du monde entier.

en savoir plusabout cancer Data in cloud computing platforms

Une recherche s’intéressant aux essais cliniques sur les nouveaux médicaments anticancéreux laisse entendre qu’ils n’évaluent pas toujours les paramètres qui comptent le plus pour les patients atteints de cancer.

en savoir plusabout patient outcomes and clinical trials

Inclusion et partenariat

L’engagement de l’IORC envers l’équité, la diversité et l’inclusion garantira que des personnes de toutes les communautés contribueront et profiteront de cette nouvelle ère d’innovation en cancérologie.

en savoir plusabout OICR’s EDI program

Un nouveau plan de partenariat patient tire parti des nombreuses années de travail réalisé par l’IORC pour intégrer le point de vue des patients dans tous les programmes de recherche de l’Institut.

en savoir plusabout Patient Partnership

La prochaine vague d’innovateurs et d’innovatrices

Tom Ouelette est un doctorant qui a mis au point une façon de prédire l’évolution du cancer à l’aide d’algorithmes d’apprentissage profond.

en savoir plusabout Tom Ouelette

Clare Park est une doctorante qui exploite la technologie d’échographie tridimensionnelle pour diagnostiquer des cancers du sein difficiles à détecter.

en savoir plusabout Clare Park

Laura Bumbulis est une étudiante universitaire de premier cycle qui a contribué à la découverte de mutations génétiques dans le cancer du pancréas.

en savoir plusabout OICR's Laura Bumbulis